UNE ENTREPRISE DURABLE

LA DURABILITÉ, GAGE DE QUALITÉ DU CAFÉ

Depuis que notre histoire avec le café a commencé, il y a plus de 25 ans, nous soutenons les pratiques agricoles durables et le développement durable dans l’ensemble de notre chaîne de valeur avec la même passion et la même expertise. Nous nous engageons à assurer la meilleure qualité et durabilité pour nos cafés grâce notamment au Programme AAA pour une Qualité Durable, qui a pour objectifs d’améliorer la qualité du café, de préserver l’environnement et d’améliorer les conditions de vie des producteurs de café.

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RESPONSABILITÉ : SYNONYME DE RECYCLAGE

Les capsules Nespresso sont fabriquées en aluminium afin de préserver la fraîcheur des arômes soigneusement élaborés, et la complexité des saveurs de votre expérience café. En intégrant le recyclage de la capsule dans votre rituel café, votre Nespresso sera bon pour vous comme pour l’environnement.
En effet, l’aluminium est recyclable à 100%.
C’est pourquoi nous avons mis en place un circuit de collecte des capsules usagées : vous pouvez déposer vos capsules usagées dans l’un de nos points de vente de Papeete ou de Punaauia, ou les remettre à notre livreur qui livre les capsules à domicile, et même dans les entreprises ! L’aluminium est refondu et sert à fabriquer de nouveaux objets du quotidien et des objets d’art.

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VOS QUESTIONS, NOS RÉPONSES

Internet et les réseaux sociaux véhiculent de nombreuses rumeurs sur les capsules Nespresso. Voici nos réponses aux questions que vous pourriez vous poser en recevant ces fausses informations.

Nos capsules classiques contiennent entre 5 et 7 grammes de café environ. Elles ne contiennent que du café torréfié et moulu comme indiqué sur les étuis. Elles ne contiennent aucun additif. La seule exception concerne les 3 Variations aromatisées qui contiennent des arômes naturels (vanille, caramel et chocolat).

Nos cafés sont régulièrement testés par des organismes tiers (Direction Départementale de la Protection des Populations, Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes, UFC Que choisir, 60 millions de consommateurs, …) et tous ont confirmé la composition de nos capsules telle que nous la décrivons.

Nous travaillons avec plus de 70 000 caféiculteurs dans 12 pays (Brésil, Colombie, Costa Rica, Ethiopie, Guatemala, Inde, Indonésie, Kenya, Mexique, Nicaragua, Pérou, Soudan du Sud) dans le cadre de notre programme AAA pour une Qualité Durable, et nous assurons la traçabilité jusqu’à la ferme pour plus de 80% de nos cafés. Nous achetons le café issu de ces fermes 30 à 40% plus cher que le prix du marché.

Le café n’est pas cancérogène.

Une étude du Centre international de Recherche sur le Cancer, l’agence cancer de l’Organisation Mondiale de la Santé, l’a confirmé en 2016. Il est possible de la consulter, en français, ici : https://www.iarc.fr/fr/media-centre/pr/2016/pdfs/pr244_F.pdf

Oui, mais en quantité limitée qui n’est pas dangereuse pour la santé.

Le furane est un composé organique qui se forme naturellement dans les aliments pendant leur réchauffage ou leur cuisson. Il est donc naturellement présent dans une grande variété d’aliments et de boissons, notamment les légumes et le poulet grillés, le pain.

Tous les types de café, y compris le café torréfié et moulu, contiennent du furane, car il se forme lors de la torréfaction, une étape clé dans le processus de transformation puisqu’elle permet de développer le goût et l’arôme spécifique du café.

Quel que soit son mode de préparation, la teneur en furane d’un café est faible et sa consommation est considérée comme sûre par toutes les instances de sécurité alimentaire. D’ailleurs, les autorités sanitaires, dont la US Food and Drug Administration (FDA) et l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) n’ont fait aucune recommandation quant au taux maximal à ne pas dépasser dans l’ensemble de la consommation alimentaire.

C’est ce que confirme le site anti-fake news de 20 Minutes ici : http://www.20minutes.fr/sante/2204283-20180118-video-non-capsules-cafe-cancerogenes

Maurice Leroy, Président de la Fédération française pour les sciences de la chimie, a publié un article intitulé « Ciel, du furane dans mon café! », le 1er juin 2012 dans le Huffington Post http://www.huffingtonpost.fr/maurice-leroy/dosettes-furane-cafe_b_1559703.html et y écrit que « […] pour le furane on admet que la dose maximale admissible est de 2 milligrammes par kg, alors que la consommation de 20 tasses de café préparé à partir de capsules apporterait de 0,03 à 0,038 mg de furane/kg. Ce que l’on sait c’est que la présence de furane dans le café est en très faible teneur, même en utilisant des capsules et, qu’une consommation (déraisonnable?) de 20 tasses par jour correspond à un cinquième de l’apport maximum recommandé. La préparation des aliments est une transformation qui peut conduire à la formation de substances potentiellement dangereuses, c’est le cas des viandes cuites sur barbecue! »

L’acrylamide est un composant qui se forme naturellement dans les produits cuits, comme le pain, les chips et les cookies. Les niveaux d’acrylamide dans le café ne sont pas dangereux pour la santé, et tous les cafés Nespresso sont à des niveaux inférieurs aux valeurs indicatives données par la Commission européenne, qui est de 450 microgammes/kilo, et sont donc considérés comme sûrs par les autorités de sécurité alimentaire.

Non, Nespresso pratique la torréfaction sur mesure pour ses cafés.

La torréfaction du café est une étape cruciale et délicate, car c’est lors de cette étape que le café vert révèle sa personnalité singulière, son goût et ses arômes. Les experts torréfacteurs de Nespresso ne pratiquent pas la « torréfaction flash » et adaptent la torréfaction des grains de café selon leurs caractéristiques propres et la recette à produire pour créer des Grands Crus d’une exceptionnelle qualité. Chez Nespresso, la torréfaction peut varier de 6 à 16 minutes et de 200°C à 240°C.

Non, la crema est le signe d’un café de haute qualité selon la définition de la Specialty Coffee Association. Son rôle est de protéger les arômes délicats du café et provient uniquement de l’extraction du café, car elle est issue d’un processus qui s’opère lors de l’émulsion des lipides naturellement présents dans le café avec l’eau lors de l’extraction par haute pression de la machine. Elle ne contient pas d’additifs, ni aucune matière grasse ajoutée autre que les lipides contenus naturellement dans le café.

Nous avons choisi l’aluminium pour nos capsules car c’est le matériau le plus efficace pour protéger les quelques 900 arômes du café de l’air, de la lumière et de l’humidité jusqu’au moment de la préparation. De plus, l’aluminium a l’avantage d’être 100% recyclable. D’ailleurs, d’autres acteurs du marché du café commencent eux aussi à utiliser l’aluminium pour leurs capsules.

Aujourd’hui, la filière de l’aluminium au niveau mondial n’assure pas de traçabilité. Conscients de l’enjeu environnemental que représente l’aluminium, nous avons mobilisé, dès 2009, les acteurs internationaux tels que l’IUCN (International Union for Conservation of Nature), le WWF, Rio Tinto Alcan et d’autres acteurs de l’aluminium afin de créer un standard international pour un aluminium responsable, l’ASI (Aluminium Stewardship Initiative). Ce standard a été rendu public en 2017, et Nespresso s’est engagé à n’utiliser que l’aluminium respectant ce standard d’ici 2020.

Non, les études montrent au contraire que les deux ont soit une empreinte carbone similaire, voire meilleure pour la capsule. C’est une idée reçue qui a la vie dure.

La capsule utilise la juste dose de café (principale source d’émission de CO2 d’une tasse de café) et nos machines utilisent la juste dose d’eau (40 ml pour un  espresso par exemple) et d’énergie (nos machines grand public s’éteignent automatiquement au bout de 9 minutes d’inactivité maximum) pour préparer un café. Ainsi, il n’y a pas de gaspillage.

Au contraire, pour se préparer un café filtre, on utilise souvent plus de café que nécessaire, on fait réchauffer la cafetière à de multiples reprises, et on finit souvent par jeter le café de la veille dans l’évier, gaspillant ainsi de l’eau…Ces déchets sont invisibles, mais bien réels, et contribuent à augmenter l’empreinte carbone de la tasse de café filtre.

Les études le montrent (lire l’article de Slate ici) et nous avons publié plusieurs analyses de cycle de vie ici.

Tout simplement car l’aluminium est le seul matériau capable de protéger le café de l’air, de l’humidité et de la lumière, tout en étant 100% recyclable.

Et les capsules biodégradables (en plastique biodégradable ou végétal biodégradable) ne sont que peu biodégradées !

Pourquoi ? Car la décomposition doit en général s’effectuer dans un composteur industriel (avec des conditions de température, d’humidité et de taux d’oxygène bien particulières). Il faudrait donc pouvoir les collecter et les diriger vers les bonnes filières, ce qui n’est pas encore le cas en France.

C’est pourquoi nous avons fait le choix de l’aluminium, qui est un matériau 100% recyclable, et qui peut effectivement être recyclé puisque la filière de recyclage existe.